J’ai rendez-vous avec moi-même

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

J’ai rendez-vous avec moi-même

Nous vivons parfois des périodes pendant lesquelles notre unique compagne semble être la solitude.
Ces périodes président souvent à un changement de vie important : départ d’un enfant, décès d’une personne aimée, divorce.
Nous avons souvent l’impression que la solitude nous est néfaste, qu’elle est une ennemie. La solitude et le recueillement sont pourtant nécessaires pour retrouver nos forces et le sens de notre véritable valeur.
Si nous comptons toujours sur les autres pour nous fournir de l’énergie, nous n’apprendrons pas à puiser à la source même de la vie qui se trouve en nous.
Lorsque la solitude se présente, acceptons-la avec reconnaissance, car elle nous permet de renouer avec nous-mêmes.
Rappelons-nous, toutefois, que nos ressources doivent servir l’amour et nos semblables.

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

Je rafraîchis mes relations
J’ai rendez-vous avec moi-même Papillon_curseur2

L'instant présent est une puissante déesse [Goethe]
Lorsque nous acceptons de vivre dans l’instant présent, sans référence au passé ou au futur, nous pouvons goûter à l’essence de l’éternité. Comment multiplier ces instants bénis dans notre vie ? En faisant taire les jugements dictés par la peur.
Ainsi, au lieu de reprendre une relation là où nous l’avions laissée la dernière fois, nous donnons une chance à l’amour en oubliant querelles et attentes. Et cela est sans doute plus facile qu’on veut bien le croire.
Pourtant, comment oublier, par exemple, ce que l’autre nous a fait ? Comment ne pas avoir d’attentes envers notre conjoint ou nos enfants ? Acceptons d’oublier ces raisonnements et accueillons les personnes de notre vie avec des yeux neufs et un cœur reposé.
Abandonnons l’amertume pour mieux prendre soin de nous.

"Je persévère dans mes efforts afin de maintenir une pensée positive. Je persévère afin d’accueillir la vie avec souplesse. L’amour inonde ma vie de bénédictions. J’en suis reconnaissant.

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

Je reste humble

La pratique quotidienne de l’intériorisation nous met en contact avec la sagesse, et nous pouvons en voir les effets dans notre vie : nous serons plus détendus, moins prompts à perdre patience, plus compréhensifs envers autrui et plus tolérants; nos décisions seront plus réfléchies et nous aurons l’impression justifiée
d’être maître de notre existence.

Ce sentiment de triomphe sur les évènements peut aussi entraîner l’apparition d’une certaine forme d’orgueil qui risque de nous éloigner de notre but premier : accroître notre capacité d’amour et de joie.

Dans toutes nos démarches intérieures, demeurons humbles.

Rappelons-nous qu’apprendre à donner ce que nous recevons est essentiel à notre bonheur véritable.

Nous ne voulons pas devenir des sages qui méditent sur le haut d’une montagne et qui se coupent du monde.

Nous cherchons simplement à améliorer nos relations avec nous-mêmes et avec nos semblables.

Que nos découvertes et nos réussites ne nous éloignent pas de l’amour, car dans ce cas, nous aurons cheminé pour rien.

Arrêtons-nous un instant pour vérifier que nous n’avons pas faussé compagnie à ceux-là mêmes que nous prétendons aimer.

Si c’est nécessaire, retournons-nous et tendons la main.

Ne demeurons pas seuls.

"Je suis conscient que la fraternité avec mes semblables
fait partie de mes priorités.
Je ne demeure pas loin des miens trop longtemps"

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

Je plonge dans la vie

Notre corps porte les marques de ce que nous sommes intérieurement.

Manquons-nous de souplesse et de détermination dans notre façon d’envisager la vie?

Nous le ressentons au niveau de notre colonne vertébrale, qui est tendue et douloureuse.

Et nous essayons de changer : pour quelques instants de liberté où nous avons enfin l’impression d’être nous-même, combien d’heures passées dans une poursuite effrénée de notre épanouissement ou encore de ce que nous considérons comme notre devoir ?

Pouvons-nous changer quand nous devons sans cesse nous questionner pour savoir si nous sommes sur la bonne voie ?

Nous devons apprendre de nouvelles façons de vivre.

Depuis que nous sommes enfants, nous avons pris l’habitude de raisonner sur nos agissements.

Nous pouvons essayer autre chose, juste pour voir les résultats.

Ainsi, apprendre à détendre les muscles de notre corps nous aidera peut-être à vivre ces changements tant recherchés.

Cependant, la pratique de la détente n’a rien de spectaculaire et nous pouvons avoir l’impression qu’on ne fait rien d’important quand on travaille ainsi sur nous-mêmes.

Nous pouvons aussi reconnaître dans ce discours, trop logique pour être vrai, la voix de l’ego qui empêche de trouver les vraies solutions à nos problèmes.

Ne l’écoutons pas et faisons taire nos pensées.

Notre corps nous parle, nous transmet les messages de l’infini.

Que nous dit-il aujourd’hui ?

"J’écoute la vie qui palpite en moi. Je lâche prise, je détends tranquillement mes muscles un à un. Je refuse de laisser entrer en mon esprit des pensées stressantes et contraignantes. Je suis libre"

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

Je me fie à la vie

Avons-nous un souci particulier ou un projet qui nous emplit à la fois de crainte et d’espoir ?

Confions-le à l’intelligence universelle en affirmant bien haut sa puissance, puis oublions-le.

Une fois que nous avons remis entres ses mains nos préoccupations, faisons confiance et cessons d’y penser,

sinon elle ne pourra pas se mettre en action.

Cette méthode est simple, mais elle demande de renoncer à cette propension que nous avons de tout vouloir régler et contrôler.

Il est en effet difficile de renoncer à penser à ce qui nous préoccupe le plus.

Quand cela survient, imposons-nous la discipline de ramener nos pensées vers l’intelligence universelle, à qui nous faisons confiance.

Rappelons-nous que le problème est déjà réglé et qu’il est plus utile pour nous de nous occuper d’autre chose, de plus immédiat et terre-à-terre, peut-être !

Si nous parvenons à faire confiance, nous pouvons être assurés que la solution se présentera d’elle-même, que toutes nos démarches seront faciles et couronnées de succès.

Si des obstacles se présentent, c’est que le temps n’est pas encore venu ou que nous nous trompons dans nos choix.

Une chose est certaine : l’intelligence universelle ne se trompe jamais, et c’est pourquoi nous pouvons lui faire confiance.

"Je confie toutes mes préoccupations à l'intelligence universelle qui connaît mieux que moi les lois de la vie. Je peux me reposer en toute confiance car mes intérêts sont en très bonnes mains"

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

Je prends des risques

S’ouvrir aux autres, c’est reconnaître la nécessité d’être honnête envers les autres et envers nous-mêmes.
C’est donc accepter de dévoiler nos faiblesses, avec le risque d’être jugés et rejetés.
C’est un gros risque, car nous avons tous peur d’être blessés et de souffrir.
Nous préférons même renoncer à nous faire des amis véritables plutôt que de devoir courir un tel risque.
L’époque est en ce sens très individualiste, et celui qui y a sa place est fort, en contrôle de ses émotions et… solitaire.
Sans doute l’époque se trompe-t-elle en encourageant ainsi les individus à se draper dans une fausse enveloppe d’autonomie.
Il n’est pas d’être humain parfait; le reconnaître, c’est tendre la main vers autrui pour partager cette condition commune à tous les humains.
Se dire vulnérable ouvre la voie vers des relations vraies, et le jeu en vaut la chandelle.
Qu’arrivera-t-il si par exemple nous disions à quelqu’un :
"Je n’arrive pas à vivre ce que je prêche. Je ne suis certain de rien. J’ai peur de faire les mauvais choix. Je suis souvent indécis. Je perds patience et courage. Et vous ? "
La personne à qui nous avons le courage de dévoiler nos faiblesses nous répondra sans doute : " Je me sens souvent comme ça, moi aussi. Parlons-en un peu, ça va nous aider."
En acceptant de laisser tomber le masque et de partager ce que nous ressentons, nous aurons appris à amorcer des relations véritables et durables.

"La peur fait des étrangers, de gens qui pourraient être des amis" (Shirley Maclaine)

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

J'écoute l'enfant en moi

L’enfant en nous aspire à la joie et à l’insouciance, mais il existe aussi à l’intérieur de nous un parent qui n’est pas toujours tendre envers cet enfant.
Souvent, le parent voudrait se débarrasser de l’enfant, il réprime ses impulsions vers le bonheur et lui rappelle constamment qu’il a grandi et qu’il ne peut plus se permettre d’exister.
Ce conflit engendre la souffrance et nous éloigne du bonheur.
Habituons notre esprit à l’idée que nous avons en permanence à l’intérieur de nous un petit enfant, tendre et vulnérable, qui demande notre attention bienveillante.
Cet enfant est fondamentalement juste et bon, et, lorsque nous nous éloignons de l’amour, il souffre.
Il peut arriver aussi que cet enfant se sente maltraité par son entourage, que certains comportements le blessent ou le brisent.
Il nous revient alors de le consoler et de le placer dans un environnement qui lui apportera la dignité et le soutien auxquels il a droit.
Finalement, il nous revient aussi de rappeler à cet enfant qu’il est lié à la source de vie et que, en ce sens, il n’est jamais seul.
S’occuper de notre enfant intérieur nous place sur le chemin de la joie et de la vérité.

Je me transforme au contact intérieur. Il est la baguette magique de mon bien-être et de ma joie. J’aime cet enfant, qui me le rend bien.
Être, c’est ne jamais cesser de naître.(Thérèse Bertherat)

Admin Messages : 274 Date d'inscription : 14/09/2009

J'écoute l'enfant en moi

L’enfant en nous aspire à la joie et à l’insouciance, mais il existe aussi à l’intérieur de nous un parent qui n’est pas toujours tendre envers cet enfant.
Souvent, le parent voudrait se débarrasser de l’enfant, il réprime ses impulsions vers le bonheur et lui rappelle constamment qu’il a grandi et qu’il ne peut plus se permettre d’exister.
Ce conflit engendre la souffrance et nous éloigne du bonheur.
Habituons notre esprit à l’idée que nous avons en permanence à l’intérieur de nous un petit enfant, tendre et vulnérable, qui demande notre attention bienveillante.
Cet enfant est fondamentalement juste et bon, et, lorsque nous nous éloignons de l’amour, il souffre.
Il peut arriver aussi que cet enfant se sente maltraité par son entourage, que certains comportements le blessent ou le brisent.
Il nous revient alors de le consoler et de le placer dans un environnement qui lui apportera la dignité et le soutien auxquels il a droit.
Finalement, il nous revient aussi de rappeler à cet enfant qu’il est lié à la source de vie et que, en ce sens, il n’est jamais seul.
S’occuper de notre enfant intérieur nous place sur le chemin de la joie et de la vérité.

Je me transforme au contact intérieur. Il est la baguette magique de mon bien-être et de ma joie. J’aime cet enfant, qui me le rend bien.
Être, c’est ne jamais cesser de naître.(Thérèse Bertherat)

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